Gabriel Attal a réuni, lundi 24 mars à Paris, des dirigeants centristes pour un sommet “pour la démocratie et les libertés.“ Présenté comme le premier acte d’une série de sommets, l’initiative se voulait une riposte face à “l’internationale réactionnaire“ menée par la Russie et les Etats-Unis de Donald Trump. Ce qu’il faut retenir de l’accord trouvé à son issue.
Une trentaine d’eurodéputés et presque autant de représentants de forces politiques locales venus de Hongrie, de Slovaquie ou d’ailleurs ont répondu ce lundi à l’invitation du secrétaire général de Renaissance, Gabriel Attal, et de la la présidente du groupe Renew au Parlement européen, Valérie Hayer.Lire la suite