“Je suis prête à être la première femme présidente de la République“ a déclaré en juillet dernier la présidente du conseil régional d’Ile-de-France et candidate à la présidentielle de 2022, Valérie Pécresse. “Quelles seront les grandes mesures de son programme“ ? Quelles sont ses ambitions pour la France ? “Sera t-elle la femme qui réussira à rassembler et relever la Droite ?…“ Ce jeudi 23 septembre en direct sur France 2, à partir de 20h35, celle que l’on donne comme favorite d’une possible primaire de la Droite, sera l’invitée du nouveau grand rendez-vous politique mensuel de France Télévisions, “Elysée 2022“. Elle répondra aux questions des journalistes Léa Salamé et Thomas Sotto.
Il n’aura pas échappé aux fans de débats politiques que la rencontre sur BFMTV entre le leader des Insoumis, Jean Luc Mélenchon et le polémiste Eric Zemmour aura lieu le même soir que le lancement de la nouvelle émission politique de France 2. Hasard du calendrier ? Coïncidence malheureuse ? Non, à en croire le Canard enchaîné et le Figaro, qui tous deux rapportent que l’Insoumis en chef aurait volontairement choisi cette date, après avoir manqué l’occasion d’en être l’invité, pour avoir refusé de se soumettre au format proposé par la chaîne.
Face à Darmanin
Après l’interview place au grand débat avec un contradicteur politique. Pour ce premier numéro de l’émission, Valérie Pécresse affrontera le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Immigration, séparatisme, insécurité… seront autant de thèmes de confrontation.
Plusieurs autres temps forts viendront rythmer ce nouveau rendez-vous politique :
- “paroles de Français“ avec le journaliste Francis Letellier, reportage en immersion à la rencontre des Français en région ;
- une séquence où des primo-votants auront l’opportunité de questionner l’invité sur les thématiques qui les intéressent ;
- le face-à-face avec un invité mystère, issu de la société civile ;
- les questions économiques abordées avec Alexandra Bensaid ;
- ainsi qu’une rubrique “fact-checking“ avec Jean-Baptiste Marteau.
2017: quand les politiques se mettent au "fact-checking" https://t.co/ldiaiZt6Cr pic.twitter.com/QQbvafUrLZ
— BFMTV (@BFMTV) February 10, 2017
Le “debrief“
En deuxième partie de soirée, place au “débrief“, présenté par Léa Salamé et Thomas Sotto, avec la journaliste politique de la chaîne, Nathalie Saint-Cricq, ; Jean-Michel Aphatie, éditorialiste politique ; Hervé Gattegno, directeur général des rédactions du JDD et de Paris Match ; Fatiha Agag-Boudjahlat, enseignante et essayiste ; David Djaïz, essayiste et professeur à Sciences-Po et Tugdual Denis, directeur adjoint de la rédaction de Valeurs actuelles.
L’eurodéputé, Yannick Jadot, et l’économiste, Sandrine Rousseau, se sont qualifiés ce dimanche au terme du premier tour de la primaire écologiste. Les deux candidats s’affronteront lors d’un deuxième tour organisé du samedi 25 au mardi 28 septembre.
1/4 #PrimaireEcologiste. Se sont qualifiés dimanche pour le 2ème tour de la primaire écologiste qui se tiendra du 25 au 28 septembre :
🗳 @yjadot : 27,7%, soit 29534 voix
🗳 @sandrousseau : 25,14%, soit 26801 voix pic.twitter.com/iqYycU5J13
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) September 20, 2021
Avec quelque 106 000 votants, entre 23 000 et 29 000 voix pour chacun des quatre premiers candidats, ce premier tour s’est joué à quelques milliers de clics. Les scores de quatre candidats sont en effet relativement serrés. L’eurodéputé Yannick Jadot sort en tête, avec 27,70% des voix, suivi de près par Sandrine Rousseau, avec 25,14 % des voix. La députée des Deux-Sèvres, Delphine Batho, chantre de la décroissance et candidate “100% laïque“ revendiquée, est arrivée troisième avec 22,32 % des voix, mais échoue à se qualifier au second tour, suivie par le maire de Grenoble, Éric Piolle, avec 22,29 % et l’entrepreneur Jean-Marc Governatori avec 2,35 %.
#PrimaireEcologiste – les résultats du premier tour
122675 participantes et participants
86,91% de participation
0,2% votes blancs pic.twitter.com/NWcKwGFewc— EELV (@EELV) September 19, 2021
Un deuxième tour très ouvert
L’élection reste donc grande ouverte. Quand on lui parle de second tour, Julien Bayou évoque la “part de l’ange“, ces électeurs qui se seront perdus en chemin entre les deux tours. “Les gens iront où ils voudront“, résume, pour sa part, David Cormand, ancien secrétaire national et soutien de M. Piolle.
L’ex-ministre et présidente de Génération écologie, Delphine Batho, a très tôt dégainé dans la soirée de dimanche un communiqué de presse dans lequel elle exclut clairement d’apporter son soutien à l’un des deux finalistes. “Je ne donnerai pas de consigne de vote“ écrit-elle. Et d’ajouter : “Nous faisons confiance à la maturité des électeurs et des électrices de la décroissance pour faire les bons choix“. Même son de cloche de la part d’Eric Piolle, qui se refuse lui aussi a donner quelque consigne de vote. “Cette primaire leur appartient, je les laisse à ce choix“, a t-il indiqué. “L’écologie sort grandie de ces débats“, a déclaré le maire de Grenoble, qui a insisté sur le besoin d’une écologie qui “s’ouvre aux aspirations des Français“, en particulier de “la jeunesse et des milieux populaires“.
💚 MERCI aux 23 801 électrices et électeurs qui, en nous apportant leurs suffrages, ont accompli un vote politique pour la #décroissance. pic.twitter.com/fxVqA0ZPc8
— Delphine Batho (@delphinebatho) September 19, 2021
Un clivage politique net
Les deux qualifiés pour le second tour de la primaire se sont succédé dimanche à la tribune, affichant leur volonté de rassemblement mais aussi leurs différences de lignes. D’un côté, Yannick Jadot, qui incarne une approche “pragmatique“ et “réaliste“ de l’écologie, a souligné la nécessité de faire le choix d’une “écologie de gouvernement“. “On ne peut pas s’offrir un quinquennat de plus d’Emmanuel Macron“, a t-il indiqué, saluant “la résilience face aux attaques incessantes de certains responsables politiques“, de son adversaire.
Yannick Jadot: "On ne peut pas s'offrir un quinquennat de plus d'Emmanuel Macron" pic.twitter.com/6cN2QgdOw3
— BFMTV (@BFMTV) September 19, 2021
De l’autre, l’écoféministe, Sandrine Rousseau, qui défend une “radicalité environnementale“. “Le temps des petits pas et de l’accompagnement n’est plus le moment“. “C’est une victoire d’être au second tour, c’est une victoire d’être dans un mouchoir de poche avec Yannick Jadot, et je vous promets d’autres surprises“ a-t-elle déclaré dimanche au micro de BFMTV, parlant de “victoire au second tour“.
Sandrine Rousseau (EELV): "Je vous le dis, j'irai jusqu'au bout, je serai la surprise de cette présidentielle" pic.twitter.com/g7O15x4cd0
— BFMTV (@BFMTV) September 20, 2021
C’est donc un choix très clair entre deux options. D’un côté, l’approche d’une écologie dite “pragmatique“, et de l’autre une jugée plus “radicale“. Dans le camp de Yannick Jadot, on reste toutefois confiant pour la suite, car si Sandrine Rousseau est présentée comme une écologiste radicale, l’eurodéputé compte sur son profil de rassembleur.
Ils sont les deux finalistes de la primaire écologique. Bien que partisans d'un socle commun, ils avancent des mesures très différentes. Les propositions de @yjadot et @sandrousseau https://t.co/Su1a7h1f92 #PrimaireEcologiste pic.twitter.com/idefMFYRt0
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) September 20, 2021
“Le point fort de Yannick, c’est de parler au plus grand nombre, de rassembler, et c’est cela qu’il doit mettre en avant cette semaine“, déclare ainsi à BFMTV Matthieu Orphelin, député Europe Ecologie Les Verts (EELV) et soutien de Yannick Jadot. Selon le député européen Damien Careme, “Ça va être la stature d’homme présidentiable qui va jouer maintenant parce qu’il faut rassembler, rassembler dans la famille écologiste pour être le vainqueur de cette primaire des écologistes“.
Entre Yannick Jadot et Sandrine Rousseau, le second tour de la primaire écologiste s’annonce riche en contrastes | par @JCarriat https://t.co/LUB1J6wJRz
— Le Monde (@lemondefr) September 20, 2021
Pour le onzième samedi consécutif, les opposants au pass sanitaire se mobilisent. La journée de ce samedi sera une nouvelle fois marquée par de nombreux rassemblements en France pour protester contre l’application de la mesure.
Quatre manifestations à Paris
Quatre cortèges traverseront les rues de la capitale ce samedi 25 septembre.
Gare de Lyon- basilique du Sacré-Coeur (Gilets Jaunes)
Une première manifestation organisée à l’initiative des “Gilets Jaunes“ partira de la Gare de Lyon (12e), en direction de la basilique du Sacré-Coeur (18e). Rendez-vous est donné à midi, pour un départ du cortège à 14 heures : boulevard Diderot > place de la Nation > boulevard de Ménilmontant > avenue de la République > place de la République > boulevard de Magenta > rue Lafayette > boulevard de Rochechouart > boulevard de Clichy > rue Caulaincourt > rue des Abbesses > rue d’Orsel. Une attention particulière sera portée à ce rassemblement par les forces de l’ordre, qui craignent des départs en cortège sauvage.
#PasseSanitaire 11ème semaine de mobilisation. A Paris, une 1ère manifestation #GiletsJaunes partira à 14h00 🕑 de la gare de Lyon (12e), en direction de la basilique du Sacré-Coeur (18e). pic.twitter.com/cq3C7rsD1Z
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) September 24, 2021
Place de Barcelone – place Vauban (Les Patriotes)
Une nouvelle fois, le président des Patriotes, Florian Philippot, donne rendez-vous ce samedi à ses partisans. “Enormément de pays sont en lutte ou se libèrent ! Nous Français soyons au rendez-vous de l’Histoire ! “Rester chez soi, c’est faire un cadeau à Macron et aux covidistes ! “, indique le candidat à la Présidentielle sur son compte Twitter. Ce deuxième cortège parisien s’élancera à 14 heures place de Barcelone dans le 16e arrondissement, pour rejoindre la place Vauban, dans le 7e arrondissement.
#Manifs25septembre : énormément de pays sont en lutte ou se libèrent ! Nous Français soyons au rendez-vous de l’Histoire ! Départ du cortège national ce samedi 25/09 rdv 14h place de Barcelone Paris 🇫🇷🇫🇷🇫🇷
Rester chez soi, c’est faire un cadeau à Macron et aux covidistes ! ⤵️ pic.twitter.com/2NDeR5Wm5z— Florian Philippot (@f_philippot) September 24, 2021
Deux autres manifestations
Deux autres manifestations sont prévues dans la capitale. L’“Union Citoyenne Pour La Liberté“ donne rendez-vous à 12h00 pour un départ à 13h00 de la place Pierre-Laroque (7e), en direction de la place Denfert-Rochereau (14e). Le deuxième cortège s’élancera à 13 heures depuis la place de la Bourse, dans le 2e arrondissement) pour se terminer devant l’hôpital de La Pitié Salpêtrière dans le 13e arrondissement.
✅Rassemblement VENDREDI 24 septembre à 14h en soutien à tous les soignants suspendus. Devant le ministère de la santé
✅ marche #TOUSENBLANC avec #Ucpl #StopPassSanitaire #stopObligationVaccinale #STOPcensure médiatique ! #NoPassNoVax #NiPassNiVax Continuons d’amplifier le mvt pic.twitter.com/3xJFUCGlf5— Union Citoyenne Pour La Liberté #Covid1984 (@union_liberte) September 23, 2021
De nombreux rassemblements en province
Comme chaque semaine, de nombreuses manifestations sont également programmées en régions. Ce sera bien sur le cas dans les grandes villes françaises, notamment à Marseille (14h, Vieux Port), à Nantes (14h croisée des Trams), à Bordeaux (14h pl. de la Bourse), à Nice (14h pl. Garibaldi), à Toulouse (14h métro jean Jaurès), à Lille (13h30 -théâtre Sébastopol) ou encore à Lyon (14h Métro Brotteaux). Les agglomérations de moindre importance seront également mobilisées : Grenoble (14h30 – préfecture), Royan (15h – place Charles de Gaulle) ou encore Chambéry (14h palais de justice), pour n’en citer que quelques unes.
Des périmètres d’interdiction de manifester
A Nice, où maire de la ville Christian avait demandé cette semaine l’interdiction des rassemblements anti pass qui “prennent en otage des Niçoises et des Niçois ainsi que les commerçants“ selon l’élu , le préfet des Alpes Maritimes, Bernard Gonzalez, a pris un arrêté ce vendredi, interdisant les manifestations et rassemblements dans certaines zones du centre de la ville. Les manifestations et rassemblements sont ainsi interdites ce samedi 25 septembre sur la voie publique entre l’avenue Jean-Médecin et le cours Saleya.
Alpes-Maritimes : Le préfet interdit les manifestations dans le centre ville de Nice https://t.co/NwSiRPg72y pic.twitter.com/IES9exxiDW
— CNEWS Côte d'Azur (@CNEWS_Azur) September 24, 2021
A Montpellier où un rassemblement est organisé à partir de 14h, place de la Comédie, la préfecture de l’Hérault a décidé une nouvelle fois, d’interdire, par arrêté, les manifestations dans le centre-ville, entre 10 heures et 20 heures, en dehors d’un itinéraire déterminé : Place de la Comédie → Rue de Maguelone → Rue de la République → Boulevard du Jeu de Paume → Boulevard Ledru Rollin → Rue François Franque / Rue la Blottière → Boulevard Henri IV → Boulevard Pasteur → Boulevard Louis Blanc → Boulevard Sarrail → Esplanade Charles de Gaulle.
#PassSanitaire #Manifestation25septembre
⚠️Le préfet de l'Hérault interdit la manifestation anti passe sanitaire le samedi 25/9 dans le centre ville de #Montpellier entre 10h et 20h, en dehors d'un itinéraire déterminé (cf plan)
Communiqué détaillé ⤵️ https://t.co/JwfMwYUvof pic.twitter.com/g4n9lE12yo— Préfet de l'Hérault (@Prefet34) September 24, 2021
À Toulouse, les manifestants ne pourront de nouveau pas arpenter les rues de l’hypercentre. La préfecture de Haute-Garonne a annoncé ce vendredi soir “l’interdiction d’accès à l’hypercentre de Toulouse à tout rassemblement revendicatif non déclaré le 25 septembre 2021“. Les manifestations ce samedi sont ainsi interdites dans un périmètre délimité par les voies suivantes du centre-ville : – Rond point du Boulingrin, – allées Jules Guesdes, – allées Paul Feuga, – pont Saint-Michel, – allées Charles de Fitte, – pont des Catalans, – avenue Paul Séjourné, – boulevard Lascrosses, – boulevard d’Arcole, – boulevard de Strasbourg, – boulevard Lazare Carnot, – allée Forain François Verdier, – Rond point du Boulingrin.
#PasseSanitaire A #Toulouse, le @PrefetOccitanie interdit ce vendredi par arrêté, l'accès à l'hypercentre de Toulouse à tout rassemblement revendicatif non déclaré samedi 25 septembre. Informations et périmètre d'application : https://t.co/MbhjcjCqHa pic.twitter.com/ugN6REfbIN
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) September 24, 2021
La liste des manifestations en France, samedi 25 septembre 2021
A sept mois de l’élection présidentielle, la Droite n’a toujours pas désigné son candidat, ni tranché sur la méthode de désignation de ce dernier.Lors d’un congrès dématérialisé ce samedi 25 septembre, les Républicains vont proposer à leurs 79 000 adhérents de se prononcer sur l’organisation ou non d’une primaire pour désigner leur champion à l’Elysée en 2022. Deux options seront soumises au vote électronique des membres de LR. L’une consiste à organiser une primaire ouverte à eux comme aux simples sympathisants de droite ; l’autre, à faire voter début décembre un congrès du parti réservé, lui, aux seuls encartés.
Les adhérents seront appelés à choisir entre “deux méthodes de désignation“ : une primaire ou un congrès pour désigner le candidat, a expliqué Christian Jacob, le patron des Républicains, dans un message aux militants. “Soit on est dans un système ouvert aux militants, aux adhérents à jour de cotisation et sympathisants qui se reconnaissent dans les valeurs de la droite et du centre“, a-t-il ensuite expliqué. Soit, “’c’est un congrès des militants à jour de cotisation qui désigneront le candidat“.
#Presidentielle2022 : le 25 septembre, les 79000 adhérents des Républicains vont voter lors d'un congrès dématérialisé sur la méthode de sélection de leur candidat pour la présidentielle. Le message adressé par le patron de #LR @ChJacob77, aux militants pic.twitter.com/Fz83s53RV7
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) September 20, 2021
Cette méthode du congrès est celle “qui a prévalu dans le passé“, rappelle le numéro 3 du parti, le député du Lot Aurélien Pradié. Plusieurs prétendants pourront se présenter, mais “l’hypothèse la plus probable est qu’ils se seront mis d’accord entre eux“ d’ici là, ajoute-t-il, espérant voir se dégager “un candidat évident“. Une fois cette épineuse question réglée se posera instantanément la suivante : que faire avec Xavier Bertrand, pour l’instant en tête des sondages à droite, qui maintient depuis son entrée dans la course au mois de mars, qu’il ne passera pas par la case primaire ?
Leonetti plaide plaide en faveur d’une consultation semi-ouverte
Chargé par le parti de trouver une méthode de rassemblement pour départager les prétendants à l’investiture du parti, Jean Leonetti a remis ce lundi au président du Sénat, Gérard Larcher, et à Christian Jacob, président des Républicains, les conclusions de ses travaux sur le mode de départage des candidats. Le maire d’Antibes qui pointe les inconvénients d’un congrès, plaide clairement pour l’organisation d’une primaire semi-ouverte. Dans soin rapport, il vante une procédure “plus ouverte, plus moderne, plus dynamique et plus démocratique“ et qui selon lui, permettrait “d’augmenter la base militante“ et de “créer un élan populaire“. Mais le “Monsieur Primaire“ de LR conditionne la participation de cette base électorale à la signature d’une charte posant quatre conditions : l’adhésion aux valeurs de la famille politique, l’affirmation d’une volonté d’alternance du pouvoir en place et de soutien au candidat désigné, l’acceptation d’être identifié dans une base mobilisable pour la campagne électorale et une participation de deux euros.
La deuxième option mentionnée dans le rapport est la consultation des seuls adhérents. Celle-ci avait le vent en poupe ces derniers temps dans les couloirs de la droite. Cette idée présente “l’avantage de la simplicité“ admet Jean Leonetti, tout en qualifiant l’option d’“alternative par défaut“.
Primaire de la Droite : Dans le document remis lundi au président du Sénat et au président des Républicains, @JeanLeonetti pointe les “inconvénients“ d'un congrès et plaide en faveur d'une consultation semi-ouverte https://t.co/km73rIaYBF pic.twitter.com/4b4n7FlCWZ
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) September 21, 2021
Alors que l’opposition réclame une commission d’enquête pour faire la transparence sur l’annulation surprise du contrat d’achat de 12 sous-marins français par l’Australie, Jean-Yves Le Drian est entendu par la commission des affaires étrangères du Sénat, ce mercredi à partir de 18h30.
#SousMarins : le ministre des affaires étrangères Jean Yves Le Drian sera @#auditionné mercredi 29 septembre au Sénat sur les conséquences de l'annulation du "contrat du siècle" https://t.co/99wZd7ALFz #sousmaringate pic.twitter.com/ICP0xTmdA7
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) September 28, 2021
Le 15 septembre dernier, lorsque l’annonce d’un partenariat de sécurité dans la zone indopacifique entre l’Australie, les Etats-Unis et le Royaume-Uni était tombée, en même temps que l’annulation de ce contrat de 56 milliards d’euros, le ministre des Affaires étrangères avait réagi en parlant de “coup dans le dos“. “Cette décision unilatérale, brutale, imprévisible ressemble beaucoup à ce que faisait monsieur Trump“, avait-t-il ajouté.
"C’est très symbolique. Il y a eu une rupture de confiance."@JY_LeDrian, ministre des Affaires étrangères, sur l’affaire du contrat de sous-marins rompus par l’Australie.
▶️ #JT20HWE @LaurentDelahous pic.twitter.com/ifZKLRlKdr
— Info France 2 (@infofrance2) September 18, 2021
Le Sénat, dominé par l’opposition de droite, n’a pas fermé la porte à la création d’une commission d’enquête sur ce dossier, réclamée par le groupe socialiste ou encore par la sénatrice centriste Nathalie Goulet. Mais une série d’auditions va d’abord être conduite. A l’Assemblée nationale, une telle commission d’enquête a été réclamée par plusieurs responsables de l’opposition, mais pour l’heure, la majorité privilégie là aussi la voie des auditions pour faire “la transparence“.
Suivre l’audition en Direct
La première partie de cette audition, prévue à 18h30, sera diffusée en direct sur le site Public Sénat, a précisé la commission des Affaires étrangères et de la Défense mardi dans un communiqué.
Un hommage national sera rendu au sergent Maxime Blasco, ce mercredi 29 septembre, aux Invalides. Le cortège funéraire franchira auparavant le pont Alexandre III à Paris, comme le veut la tradition, aux alentours de 15h. Après quoi le président de la République présidera l’hommage de la Nation au sergent dans la cour d’honneur des Invalides à partir de 16h30.
Âgé de 34 ans, le soldat français du 7e bataillon de chasseurs alpins de Varces (Isère), a été tué au combat au Mali vendredi 24 septembre, a indiqué l’Élysée dans un communiqué. Son décès porte à 52 le nombre de militaires français tués au Sahel depuis 2013 dans les opérations anti-djihadistes Serval puis Barkhane.
Ce matin au Mali, dans un combat contre un groupe armé terroriste, le caporal-chef Maxime Blasco du 7e bataillon de chasseurs alpins de Varces est mort. La Nation pense à sa famille, à ses proches, aux hommes et aux femmes de son régiment.https://t.co/t7cL7W0Gqg
— Élysée (@Elysee) September 24, 2021
Tué “au cours d’une opération de reconnaissance et de harcèlement“ des forces jihadistes dans la région de Gossi, près de la frontière avec le Burkina Faso, le sergent Maxime Blasco en était à son quatrième engagement dans l’opération Barkhane en trois ans. Qualifié de “héros“, il avait déjà été plusieurs fois décoré pour ses actes de bravoure lors de missions. En juin, il avait notamment reçu la médaille militaire “pour la valeur exceptionnelle de ses services“, selon l’Élysée. En 2019, il avait sauvé la vie à deux de ses camarades après le crash de leur hélicoptère Gazelle.
Erwan Le Calvez : "Maxime Blasco était un super-héros" – 25/09 https://t.co/zdTzYZXsVC
— News Addict France (@NewsAddictFR) September 26, 2021
Emmanuel Macron installe ce mercredi à l’Elysée la commission baptisée “Les Lumières à l’ère numérique“, dite “commission Bronner“, du nom du sociologue auteur d’Apocalypse cognitive (PUF). Présidée par le professeur de sociologie à l’Université de Paris et spécialiste des croyances collectives Gérald Bronner, elle devra rendre un rapport dans les trois mois pour proposer des solutions pour “rendre attractifs les discours raisonnables“ et pour lancer un débat sur les manières de s’informer.
Cette commission vise “mesurer les dangers du numérique sur la cohésion nationale et nos institutions afin de mieux y faire face“, ainsi que l’a résumé l’un de ses concepteurs à l’Express, qui s’est penché sur les motivations du chef de l’Etat. Avec pour objectif de reconstruire un champ démocratique apaisé et lutter contre les fake news qui envahissent les réseaux sociaux. “Internet est un outil technologique formidable, a expliqué ce mardi le sociologue sur RTL. Il ne s’agit pas de revenir en arrière. Il s’agit simplement de se poser les conditions, finalement, de la possibilité de ce débat.“
Pourquoi et comment Emmanuel Macron a décidé de s'attaquer au complotisme https://t.co/55fOwPBpX5 pic.twitter.com/J8uJCIE85L
— L'Express (@LEXPRESS) September 27, 2021
L’état de grâce est terminé. Comme leurs ainés, plus de 5 millions d’adolescents âgés d’au moins 12 ans et deux mois vont être désormais concernés par le pass sanitaire. A partir de ce jeudi 30 septembre, ils devront présenter le fameux sésame pour accéder à différents lieux où il est déjà exigé. Les jeunes mineurs devront ainsi être munis du QR code attestant d’une vaccination complète, d’un test négatif de moins de 72h ou d’un certificat de rétablissement du Covid-19 datant d’au moins 11 jours et de moins de 6 mois.
L’entrée en vigueur de la mesure pour ces jeunes, prévue dans un premier temps le 30 août, avait été reportée au 30 septembre après un vote des députés en juillet. Début septembre, le gouvernement a également décidé de repousser de deux mois l’âge d’entrée dans le pass pour les adolescents, afin de leur permettre d’être vaccinés.
Les lieux concernés
Le pass sanitaire sera requis dans tous les lieux et lors des évènements où ce laissez-passer est déjà requis pour les adultes : cinémas, salles de sports, piscines, restaurants, cafés, salles de jeu… Il sera également exigé pour la pratique d’une activité sportive, hors cadre scolaire.
“Le seul moment où ça ne s’applique pas, c’est quand on fait de l’éducation physique et sportive en milieu scolaire“, a précisé Jean Michel Blanquer, mardi sur franceinfo. En ce qui concerne le contrôle du pass dans les clubs sportifs, “la règle qui a été retenue c’est qu’on ne le présente qu’une fois“, a ajouté le ministre de l’Education nationale.
Pass sanitaire obligatoire pour les ados :"Pour les activités sportives, le pass sanitaire s'appliquera, en intérieur et en extérieur, sauf en milieu scolaire", annonce Jean-Michel Blanquer pic.twitter.com/uG3FpWuerU
— franceinfo (@franceinfo) September 28, 2021
En revanche, l’accès aux établissements scolaires n’est pas conditionné à la présentation du pass sanitaire. Il restera cependant obligatoire à l’occasion de sorties scolaires organisées dans des lieux susceptibles d’accueillir du public au même moment. Si un créneau est spécialement réservé aux élèves, alors il ne sera alors pas à présenter.
Près de 64% des adolescents déjà vaccinés
Selon les derniers chiffres, au 27 septembre, 63,89% des jeunes de 12 à 17 ans, ont bénéficié d’un schéma vaccinal complet. Soit, quelque 3,3 millions d’adolescents en capacité de présenter un pass sanitaire. 72,08% de ces jeunes ont reçu au moins une dose et près de 1,5 million n’ont encore reçu aucune injection. La campagne de vaccination lancée à la rentrée par le gouvernement dans les établissements scolaires, n’a pour l’heure eu que des effets limités. Moins de 30 000 doses ont été injectées dans ce cadre, selon des chiffres communiqués mardi par le ministère de la Santé.
Population vaccinée par tranches d'âge, avec quasiment 2 adolescents sur 3 complètement vaccinés.
[L'aire de chaque rond est proportionnelle au nombre d'habitants dans la catégorie d'âge]. #Covid19 pic.twitter.com/Dj429opQ6G
— Nicolas Berrod (@nicolasberrod) September 28, 2021
Pour le douzième week-end consécutif, les opposants au pass sanitaire et à l’obligation vaccinale vont de nouveau défiler à travers la France, ce samedi 2 octobre.
Une mobilisation en baisse depuis plusieurs semaines
Alors que les deux derniers week-ends avaient déjà marqué le pas de la mobilisation, la décrue du mouvement contre le pass sanitaire s’est poursuivie. D’après le ministère de l’Intérieur, 63.700 personnes se sont rassemblées samedi 25 septembre pour revendiquer le retrait du pass sanitaire et et la fin des “mesures liberticides »“.
63.700 personnes (contre 80.000 le 18 mars) ont défilé dans l'Hexagone contre le pass sanitaire lors de ce 11e samedi de mobilisation, a annoncé le ministère de l'Intérieur #Manifs25septembre #PassSanitaire pic.twitter.com/cCt5YSur08
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) September 25, 2021
Déjà la semaine précédente, les chiffres étaient nettement descendus à 80.000 manifestants. Le week-end du 11 septembre, le ministère avait comptabilisé 121.000 participants à travers le pays. Au plus fort de la mobilisation, le 7 août, 237.000 personnes s’étaient réunies.
Reste que la mobilisation pourrait rebondir cette semaine en raison des dernières annonces du gouvernement sur le pass sanitaire, mercredi 29 septembre. L’exécutif entend en effet “maintenir la possibilité d’y recourir jusqu’à l’été 2022″, prolongeant ainsi sa possible utilisation au-delà de la présidentielle. Un projet de loi en ce sens doit être présenté le 13 octobre en Conseil des ministres.
“Ce que nous voulons, ce que nous allons proposer au Parlement, c’est de maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu’à l’été, la possibilité d’y recourir“, a indiqué le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, à l’issue du Conseil des ministres, alors que la possibilité légale de mise en place du passe arrive à échéance le 15 novembre.
Trois manifestations à Paris
Trois cortèges défileront dans les rues de la capitale, ce samedi 2 octobre.
Place Denfert-Rochereau- Place de la Nation (“Gilets Jaunes“)
Une première manifestation organisée à l’initiative des “Gilets Jaunes“ s’élancera de la place Denfert-Rochereau dans le 14ème arrondissement, en direction de la place de la Nation dans le 11ème arrondissement. Rendez-vous est donné à 12h30, pour un départ du cortège à 14 h. Itinéraire : boulevard Arago > Boulevard saint-Marcel > boulevard de l’hôpital > place Valhubert > pont d’Austerlitz > place Mazas > quai de la Rapée > Boulevard Diderot.
#PasseSanitaire #Manifs2octobre : ils ne relâchent pas la pression. Pour le 12e samedi consécutif ls #GiletsJaunes appellent à manifester à Paris ce samedi. 📆 RDV est donné à 12h 🕛 pr 1 départ du cortège à 14h 🕑 de la pl. Denfert-Rochereau en direction de Nation. Itinéraire 👇 pic.twitter.com/1bPtI9VV71
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) October 1, 2021
Place Salvador Allende- Place de Fontenoy (Les Patriotes)
Une nouvelle fois, le président des Patriotes, Florian Philippot, donne rendez-vous ce samedi 2 octobre à ses partisans. L’ex numéro 2 du RN et figure du mouvement anti-pass sanitaire, organise à Paris un “défilé pour la liberté“. Rendez-vous est donné à 14h, place Salvador Allende (7e), pour une manifestation en direction de la place Fontenoy (7e).
♦️Attention le départ pour le cortège national à Paris pour #manifs2octobre est Place Salvador Allende (Paris 7) ! 14h toujours.
Au moment où pour la première fois les anti-Pass gagnent du terrain dans les sondages, il faut être très nombreux et mobilisés ! 🇫🇷⤵️ pic.twitter.com/C2iqGF8xUD— Florian Philippot (@f_philippot) October 1, 2021
Place Laroque (Union Citoyenne Pour La Liberté)
Toujours à Paris, l’“Union Citoyenne Pour La Liberté“ se mobilise ce samedi aux côtés de professionnels de la santé. L’UCPL appelle à un rassemblement à 14h place Pierre-Laroque (7e), près du Ministère de la Santé.
#PassSanitaire #Manifs2octobre : l'@union_liberte se mobilise ce samedi 2 octobre aux côtés de professionnels de la santé lors d'un rassemblement prévu à 14h place Pierre-Laroque (7e), près du Ministère de la Santé pic.twitter.com/X8JVIiTdIe
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) October 1, 2021
Près de 200 rassemblements dans toute la France
Comme chaque semaine, de nombreuses manifestations sont également prévues en régions. Ce sera bien sur le cas dans les grandes villes françaises, notamment à Marseille (14h, Vieux Port), à Nantes (14h croisée des Trams), à Bordeaux (14h pl. de la Bourse), à Nice (14h pl. Garibaldi), à Toulouse (14h métro jean Jaurès), à Lille (14 pl. de la République) ou encore à Lyon (14h Métro Brotteaux). Les agglomérations de moindre importance seront également mobilisées : Aix en Provence (10h La Rotonde), Beauvais (14h devant la mairie), Draguignan (14h sous-Préfecture), Grenoble (14h Place de Verdun), le Havre (14h Terminus du Pré Fleuri), Saint-Étienne (15h Esplanade du Musée de la Mine), pour n’en citer que quelques unes.
Des périmètres d’interdiction de manifester
A Montpellier où un cortège partira à 14h de la place de la Comédie, la préfecture de l’Hérault a une nouvelle fois interdit par arrêté, les manifestations dans le centre-ville, entre 10 heures et 20 heures, en dehors d’un itinéraire déterminé : Place de la Comédie → Rue de Maguelone → Rue de la République → Boulevard du Jeu de Paume → Boulevard Ledru Rollin → Rue François Franque / Rue la Blottière → Boulevard Henri IV → Boulevard Pasteur → Boulevard Louis Blanc → Boulevard Sarrail → Esplanade Charles de Gaulle.
#PassSanitaire #Manifs2octobre A #Montpellier, le @Prefet34 a une nouvelle fois interdit la manifestation anti-pass sanitaire de ce samedi, entre 10h et 20h dans le centre ville, en dehors d'un itinéraire déterminé ⤵️
📝 Le communiqué https://t.co/MjHOsV1g8A pic.twitter.com/IxJdrciBZX— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) October 1, 2021
A Epinal, dans les Vosges, la préfecture a interdit par arrêté préfectoral ce samedi 2 octobre, “toute manifestation revendicative“, de 12h à 20h dans certaines rues de la ville.
#PasseSanitaire #Manifs2octobre A Épinal, le @Prefet88 a interdit par arrêté préfectoral toute #manifestation revendicative ce samedi 2 octobre de 12h00 à 20h00 dans certaines rues de la villehttps://t.co/MdgWpaMstP pic.twitter.com/mXWfTqq8mM
— L'Echiquier social (@EchiquierSocial) October 1, 2021
A Nancy, le préfet de Meurthe-et-Moselle, Arnaud Cochet a confirmé lundi lors du conseil municipal qu’il n’envisageait pas de prolonger la mesure d’interdiction de manifestation, mis en place le week-end du 11 et 12 septembre 2021. Ce samedi 2 octobre, les manifestants contre le pass sanitaire pourront ainsi revenir dans le centre-ville, à l’exception toujours du secteur autour de la place Stanislas. “Il m’appartient de garantir l’intégrité de la place Stanislas“, a rétorqué le préfet face aux élus. Pour lui, les conditions ne sont pas réunies pour garantir la sécurité des passants et des établissements. “Je comprends le souhait mais tant qu’un groupuscule violent sera actif en Meurthe-et-Moselle je serai dans l’obligation d’interdire la place Stanislas“, a t-il indiqué.
La liste des manifestations en France, samedi 2 octobre 2021
Déployés sur le terrain, tracts en main depuis septembre, les adhérents de La République en marche (LREM) se retrouvent, en point d’orgue de ce début de campagne présidentielle, les 2 et 3 octobre à Avignon (Vaucluse), pour leur “campus“ de rentrée. Même sans candidat officiel, le mouvement entend en faire une démonstration de force militante, avec 4.300 Marcheurs inscrits, soit 1.300 de plus que le raout d’il y a deux ans à Bordeaux.
Présidentielle 2022 : LREM se réunit à Avignon, le coup d’envoi de la campagne d’Emmanuel Macron ? – Radio classique https://t.co/Y7SMffarBX
— Eric Vander Steen (@Eric_vds) October 1, 2021
Ce rassemblement sera aussi l’occasion de répondre à la volonté affichée du président du MoDem, François Bayrou, de rassembler les familles de la majorité présidentielle dans une même “coopérative“ d’ici à Noël. “Il y aura l’expression de notre volonté commune de faire encore plus ensemble“, assure un responsable LREM, tout en prévenant : “Ces réflexions ne doivent pas venir gêner ce qui doit se passer avant 2022.“
Le Direct
Le programme des 2 jours
Au programme de ces deux jours :
- Des plénières militantes et politiques,
- Des ateliers en présence de nos ministres et d’experts renommés,
- Des séances de questions réponses et d’échanges informels avec ministres et responsables politiques,
- Des formations pour s’approprier notre bilan et préparer ensemble la mobilisation sur le terrain et le numérique.
Ces parcours de réflexion et de débat s’articuleront autour de 3 thèmes clés : l’indépendance française et européenne, le travail et le mérite comme priorité de la sortie de crise, et le nouveau pacte à bâtir entre les Français.
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