Députés et sénateurs de gauche ont lancé jeudi une deuxième demande de référendum d’initiative partagée (RIP) sur la réforme des retraites. Un texte davantage “sécurisé“ sur le plan juridique que la demande sur laquelle le Conseil constitutionnel doit se prononcer ce 14 avril.
Saisi par 252 parlementaires de gauche, le Conseil constitutionnel doit dire, ce vendredi soir, s’il valide l’ouverture d’un référendum d’initiative partagée (RIP). Mais avant même cette décision, un deuxième RIP a été déposé hier par la gauche. Le premier, rédigé dans l’urgence, ayant en effet été jugé trop fragile juridiquement par ses auteurs, qui disent avoir eu de “premiers échos pas rassurants“, et redoutent de voir leur texte retoqué par les Sages cet après-midi. Objectif : “assurer le coup et parer aux éventuelles remarques du Conseil“, expliquait hier le communiste Pierre Dharréville, à Playbook.Lire la suite